La Ligue sénégalaise des droits humains (LSDH) reste « très préoccupée par le respect de la dignité humaine, des droits » des patients et des travailleurs, selon son communiqué, parlant des remous liés à la délocalisation pour la reconstruction de l’Hôpital Aristide le Dantec.

L’organisation de défense des droits de l’homme, rappelant « que l’État a le devoir de garantir la bonne santé des populations en assurant une bonne prestation sanitaire dans ses services publics hospitaliers », exige « que tous les malades qui ne trouveront pas de place dans leur lieu de transfert soient automatiquement pris en charge en urgence ».

« Les malades qui sont dans des états critiques soient absolument transférés par ambulance et non laissés seuls à leurs accompagnants pour les acheminer dans des conditions qui peuvent leur être fatales », réclament, par ailleurs, Alassane Seck et Cie. Ils demandent au Directeur de l’Hôpital « de veiller à ce que les employés ne soient pas envoyés en chômage technique pour servir de prétexte à leur licenciement ». Avant de lancer « un appel » au gouvernement et au ministre de la Santé en particulier, « de veiller à ce que le plan de redéploiement des services et personnels, soit respecté dans une démarche inclusive avec tous les acteurs ».

Concernant le plan de redéploiement en question, l’Association cancer du sein Sénégal, dirigée par Diarra Gueye Kébé, a lancé un cri de cœur dans une lettre ouverte adressée au chef de l’État, Macky Sall. « Nous sommes réellement attristés, déboussolés et dans l’incertitude totale quant à la prise en charge correcte des malades en traitement contre le cancer, mais aussi pour tous les futurs cas qui ne vont pas manquer, au vu des tendances actuelles. Parce que chaque jour, malheureusement il y a de nouveaux cas qui se rajoutent aux anciens », a plaidé l’association. exige…

La Ligue sénégalaise des droits humains (LSDH) reste « très préoccupée par le respect de la dignité humaine, des droits » des patients et des travailleurs, selon son communiqué, parlant des remous liés à la délocalisation pour la reconstruction de l’Hôpital Aristide le Dantec.

L’organisation de défense des droits de l’homme, rappelant « que l’État a le devoir de garantir la bonne santé des populations en assurant une bonne prestation sanitaire dans ses services publics hospitaliers », exige « que tous les malades qui ne trouveront pas de place dans leur lieu de transfert soient automatiquement pris en charge en urgence ».

« Les malades qui sont dans des états critiques soient absolument transférés par ambulance et non laissés seuls à leurs accompagnants pour les acheminer dans des conditions qui peuvent leur être fatales », réclament, par ailleurs, Alassane Seck et Cie. Ils demandent au Directeur de l’Hôpital « de veiller à ce que les employés ne soient pas envoyés en chômage technique pour servir de prétexte à leur licenciement ». Avant de lancer « un appel » au gouvernement et au ministre de la Santé en particulier, « de veiller à ce que le plan de redéploiement des services et personnels, soit respecté dans une démarche inclusive avec tous les acteurs ».

Concernant le plan de redéploiement en question, l’Association cancer du sein Sénégal, dirigée par Diarra Gueye Kébé, a lancé un cri de cœur dans une lettre ouverte adressée au chef de l’État, Macky Sall. « Nous sommes réellement attristés, déboussolés et dans l’incertitude totale quant à la prise en charge correcte des malades en traitement contre le cancer, mais aussi pour tous les futurs cas qui ne vont pas manquer, au vu des tendances actuelles. Parce que chaque jour, malheureusement il y a de nouveaux cas qui se rajoutent aux anciens », a plaidé l’association.